Tuesday, May 26, 2009

De l'externe à l'interne dans le monde politique


Nous pouvons pensez que la politique est un monde très sournois, qui as pour but d'avoir le pouvoir sur une gang qui vote pour le moins pire ou le plus populaire. On peut aussi croire que les chefs de parti sont tous des tarés (Mario Dumont en première référence). On peut sortir à peu près tous les légendes urbaines sur la politique, mais nous ne pouvons rien comprendre si nous ne sommes pas à l'intérieur. Pour ceux qui n'aime pas la politique, vous pouvez être surpris de comment une rencontre peut-être drôle et incroyable. Voici l'histoire d'une réunion jeunesse dans une région et des membres quelconque.

17h30 Une conseillère ayant un poste de représentante va chercher un gars nowhere pour la "remplacer dans une réunion"

18h36 Début de la réunion 30 minutes en retard, puisque les membres n'étais pas tous présent. Nous pouvons appeler ça l'heure de Parti, puisqu'en politique, aucune réunion commence à l'heure.

[ J'ouvre des crochets ici pour discuter des membres faisant parti de la réunion. En fais, il y a trois sorte de personne à une réunion:

- Les grands connaisseurs: Pour être à ce niveau, il faut que tu sois en politique active. Ce genre de personnes sont courantes et généralement apprécier

- Les has-beens: Il y en a deux trois qui font soit un "come-back", ou soit qu'ils s'assoient sur le bord de la porte pour squatter ce qui fut jadis leur raison d'être.

- Le président: Le poste de responsabilité... c'est-à-dire filer la job plate à sa marionette/personne qui lui lèche les bottes. En fais, ce n'est pas vrai, puisqu'un bon président demande l'appui de tous, tandis qu'un président qui se fout du reste du monde va prendre une fille laide et bête qui est intéressée et/ou folle de lui pour faire la job sale. En d'autre mot, plus le président est mauvais, plus les personnes contre lui veulent le "butcher" ou du moins, placer quelqu'un de plus compétent. En gros, tu remplace la laideronne par une cruche a belle parure et le président tombe raide parce qu'il n'a plus de soutient de la seul personne sensée qui pouvais l'aider. C'est aussi le seul monde ou la beauté ne l'emporte pas nécessairement sur la tête, puisque derrière chaque cruche aux belles allures se cache des personnes intelligentes qui ne peuvent pas se montrer la face.

- Les gens qualifié: Ici il y a 2 catégories. Le type A est ceux qui sont en science politique et membre de parti ayant de très bonne connaissance en politique et l'utilise à bonne échéant. Le type B est ceux qui possède des bases très fondée en science politique à l'université, mais analyse trop ce que le prof a dit, ce qui fait en sorte qu'il dit des statistiques pathétiques ou des explications bidons. Ici, les personnes de type A sont capable de faire des blagues ou d'être sérieux au bon moment. Le type B est sérieux, dicté par les principes et parle de statistiques complètement connes et n'ayant aucun rapport pour faire passer son point.

- Les trop pro-français: Ceux qui parle avec un accent français et qui essaie de traduire des expressions courantes anglophones puisque le français est une très belle langue. Il y en a partout, même à l'école. Si vous en croiser, soit vous lui dites de vous câlisser patience avec son français parfait, ou soit vous le regardez d'un air dégoutez tout simplement. Ça changera surement pas sa personnalité, mais ça va vous faire du bien.

- Les "Poker faces": Normalement, ce genre de gars là est hypocrite, et quand tu le remarque, tu commences à exagérer les traits de sa personnalité. Par exemple, je rencontre Mr.X, il semble correct. J'apprends par les branches par contre qu'il est un hypocrite dans le parti. Je vais alors lui donner des traits de caractères que personne peut remarquer à première vue (son nez le trompe, ses yeux, etc.) Les plus extrémistes vont même qu'à parler du dos de la tête, de l'arrière des genoux et des orteils de la personne.

Et enfin,

20h52 Fin de la réunion, tout le monde se parle comme s'il étaient des amis, et quand ils quittent, la "game" de Risk pour le pouvoir est enclenché, puisque les guerres à la popularité dans un parti est très important, puisqu'un désaccord sur un sujet peu nuire au but de la mission.

Finalement, le gagnant est le "Barabas"* du Parti, soit le gars ou la fille ayant le plus d'appui à cause d'une crosse ou d'un vote arrangé en sa faveur. L'aspirant lui, veut tasser ce "Barabas" de là, mais en jouant la carte de l'honnêteté, ne peut pas gagner. Voilà la politique, Un jour vous êtes ensemble pour les mêmes principes, et le lendemain, les deux deviennent des ennemis pour mener le combat à leur façon.

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